A la recherche d'Allyara...

Une lettre dirigé a tos les membres de la alliance:

"Chers freres et soeurs,
nous sommes en guerre. Vous etes tous au courrent de la sorte terrible qu'est en train de soufrir mon royaume: les mesonges de Viraine, l'attentat qui m'a presque couté la vie, la desaparition de la princesse Allyara...Je suis aussi au courrent des malheures qui arrivent a notre reine et les dangers qui se cernen sur notre Capitale, mais j'ai plein confiance en notre General et dans notre puisante armée.
Meme si je vous envoyez un grand nombre des troupes, moi meme prends le large en quete de ma vraie fiancée, peut etre encore en vie... J'ai besoin de connaitre sa sort, tenter au moins de lui epargner plus des soufrances, comprenez moi quand je vous dite que ne pas participer d'un possible attaque de Viraine me brise le coeur, mais j'ai d'abord une responsabilité vis a vis de mon peuple. Il faut que je sauve notre lignée, sino tout sera perdu definitivement pour le peuple Kalon... Je parlé d'un attaque de Viraine puisque me semble que maintenant qu'elle a etait decouverte nous aurons ses nouvelles rapidement. C'est pour ça que je vous envoye mes troupes et certains de mes conseiliers les plus prestigieux pour me representer dans un possible conflict. Ils vons se remettre aux ordres du General Aegis.
Myrgaia je sais que c'est un moment penible pour vous, et dans ma position je pense que je suis le plus proche de vos sentiments. Sayez que ma loauyoté reste la meme malgrais l'attaque de votre soeur, que malgrais les apparences ne vous ressemble absolument pas.

Je parts vers la Mer de la Mort. je laisse mes villes avec grand regret. j'ai peur de la sorte de mon royaume pendat mon abscense...

Mes chers amis, je va prier a nos dieux kalons pour votre sorte...et pour la mienne...

Avec un enorme poids sur le coeur, je vous salut,

Patagonico, dernier des rois Kalons"

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Quatre longues semaines se sont ecoulés......
A la vue de l'Archipele de l'Enfer tous les visages sur la flotte de Patagonico deviens serieux, les mots deviens rares et les hommes commencent a se demander comme ils pouvaint arriver a retruver une fragile femme parmis la centeindes iles et des ilots que formaint l'archipel.
Patagonico tranche court la question: "on va diviser la formation en dix groups de dix bateaux et a chaque group un secteur a rastriller a fond: vous allez passez au peigne fin chaque ile, chaque ilot, vous alles remouer chaque pierre, vous allez analicer chaque indice et on vous allez comuniquer toute l'information a Mapuche neuquino, atravers notres sisteme de pigeons.
je veu etre au crent de tout toutes les heures!"
A la fin de la journée les diferents groups de bateaux n'etaint que des ombres surl'horizont marin...Ptagonico regardé avec desespoir l'inmense nombre des iles que on commencé a apercevoir dans son secteur. l'angoise commencé a monter encore. malgrais sa faiblesse fisique il tenez debout, sur le poste d'observation de son bateaux commandant. Il n'arretez de faire des calcules dans sa tete: une moyenne de 50 bouts de terre par secteur...sa donnais quelques milliers des mettres carrés a fuiller...plus les iles pleines de vegetation sauvage...et si elle etait encore en mer, sur le cannot?... dans ce cas elle sera certainement morte deja...il frissonne....
"Mapuche!.........
On va se diviser d'avantage..."
"Encore?" se surprends son conseilier
"Oui, nous n'avons pas le temps de prendre les choses delicatement, il faut tenter le tout et d'un coup: nous avons ouvrir notre formation en avantail et separement chaque bateaux va faire le tri sur une portion de notre secteur, comme sa on ferait plus vit... Je veu que perssonne se repose jusq'au retrouver Allyara!!! ... ou savoir si elle es deja...morte..."
Patagonico finnise peniblement ses derniers mots et avec toute sa dignité se retire a sa chambre. La il se ecroule sur son lit, prisse d'une violente convultion sous la regarde triste de son fidel Mapuche

"Mon seigneur!!!! Il faut se calmer!
Vous etes trop faible encore pour vous exiger tels epreuves!!! Il fait deja 4 semaines que vous non dormez pas! c'est pas possible de continuer ansi!"

"Cher mapuche: la, dehors, peut etre unejeune fille est encore en vie, seule, effrayée, en train de mourrir de faim, malade, j'en sais pas! mais tous les scenarios sont les uns plus horribles que les autres! il faut que je fasse mon maximum..."

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Au petit matin le bateau de Patgonico commence a fuiller la premier ile, plus de trois cents hommes, coude a coude, regradent chaque centimetre de terrain.
Dans l'aprés midi ils etaint deja sur la troiciemme ile et encore riens: pas un signal, pas un indice.
Selon les messages que n'arretaint pas d'arriver des uatres groups, part tout etait pareil.

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Au quatreiéme jours, apré avoir registré 27 iles et ilots le bateaux de Patagonico rentré dans une zonne absolument inconue de la Mer de la Mort.
Ils allez passer un etroit entre deux grands iles. Un espece de vapeur avec un odeur assez particulier flotté sur la surface de la mer. pas des vagues, pas des sons...meme la jungle, trés exuberant dans ces iles, etait muete...rien bougé...
A forme et mesure qu'ils avancen sur l'etroit, cet espese de brume devenez de plus en plus epaisse, on arrivé pas a voir les cotes, meme si elles etaint tellemnt proches...et ce odeur assez bizarre, on senté que la tete tournée...
Vers 18 heures ils sont reçu le premier attaque: rapide, precise, silencieux, seulement diz minutes et presque la moitié des hommes de la tripulation etaint par terre mort ou agonisants...

ils sont eu le temps seulement de prendre ses armes, de tenter de reanimer certains mourants, meme si personne comprennait le type des munitions utilicés: pas de blesures, pas de sang...

le deuxieme attaque a finit avec presque tout le monde, sauf le roi et certains de ses proches, on aurait dit que meme ça etait bien calculé...

patagonico, Mapuche Neuquino et cinq de ces conseilliers ont etait prise en otage par une bande des hommes presque dorés, nus, et qui portaint des cerbataines longues, pointés sur ces proies.

une foi sur terre, une vrai masse d'hommes dorés est sortie de la jungle, en tete un vrais colosse,nu aussi mais avec une enorme coiffe des plumes du Paradisier. Il regardait atentivement Patagonico qui avec sa tenue de guerre, rivalisé avec lui par l'eclat de ses plumes et son beau manteau offert par Mirgaya.

Le colosse crie quelques sons incomprehensibles et quelques hommes prends trois des conseiliers de Patagonico et sans preambule leurs tetes tomben sur le sable suite a des coups precise d'une espece d'hache. Patagonico muet d'horreur voie ces especes de monstres tronchers les trois corps sans vie en plusiers marceaux, au niveau des articulations et repartir ces sortes des trofées macabres parmis certains personnages.
Tout le monde rié et chanté dans une langue horrible. Patagonico compris que sa fin n'atait pas loin...

La nuit etait un enfer. Patagonico ataché a un arbre a coté de Mapuche tenté de voirla sorte de ses deux conseiliers de qui on entendais les cris mais le champ de vision des deux prisioners ne leurs permetez pas de voir ce qui se passé. En tout cas riens de trés agreable...
dans l'oscurite, avec un faible reflet des flames lointanes autour du quelles les indigenes dansaint et faisaint Dieux sait quois aux conseiliers, les amis on commence a se fair ses adieux: une morte horrible etait inminente.
- Mon cher Mapuche- commence patgonico- mon fidel ami...c'est moi que vous a entrenez dans cette folle aventure et on paye le prix le plus haut... Seulement peut je te dire "perdon" et "merci", tu a etait toujours prés de moi, tu a etait plus qu'un conseilier, tu es mon ami, et t'avoir battu jusq'au la fin a mon coté te sera bien recompense au paradis, ou nos anncetres nous attends...Mon unique regret c'est que notre lignée va s'atteindre avec ma mort...

-Ne parlez pas comme ça, mon Seigneur, ça ne vous ressamble pas! Nous ne sommes pas morts encore, et meme si j'enttends come vous l'agonie de vos conseilliers encore peut survenir un miracle...d'ailleur, vue l'etat des choses, je doive vous avouer un lourd secret puisque je sent que ma vie a moi tiens d'un fil...

-Allez ci mon ami! je t'ecoute- l'encourage Patagonico...

-Et bien...tous ces années que j'ai passé a vous proteger, a vous aider humblement, a vous conseilier avec le peut d'inteligence que j'ai, tout mon investisement a vos causes, tous ça que vous venez de me remercier, ce n'etait pas plus que mon obligation...

- Ne dit pas ça! -le coupe le roi- tu as fait preuve d'un corage hors norme, d'une fidelite sans pair! Tu es plus qu'un ami, tu es presque le frere que je ne pas eu!

-...justement- reponds tristement Mapuche- moia aussi je suis un enfant de votre pere...

-QOUIS?- s'ecrie Patagonico

- Je suis le fis de Nahuela Huapa, la Pretresse de la Pacha Mama...avant de rencontrer votre mere et vous avoir ils sont eu une liasson mais ma mere n'avais pas de sang royale dans ses veines et leur union a etait refussé par les annciens. ma mere m'as eu en cachet etil ma presenté quand j'avais 15 ans a la cour, aprés un long sejour dans les confins du royaume. Elle a pretendu etre marrié a un oscure General , decedé aprés ma nassaince.
Ele m'ai tout explique depuis toujours, donc devenir votre conseillier et soutien vec le temps c'est pour moi le plus naturel au monde...

- mais mon pere etait au courrent? pourquois personne m'ai riens dit? pourquois vous taire pendant tous ces années???

- avant tout vous etes mon roi et la continuitité de notre race est entre vos mains, a quois bon vous charger avec des vieilles histoires de famillie? mais ce soir, quand je sent la mort nous afleurer, je tenait a vous dire tout...

Patagonico, visiblement boulversé reste silencieux...

pas pour logtemps...une horde des hommes dorés viens les chercher pour les emenér vers la ceremonie, ça senté horriblemet a la viande brulée...Patagonico a fait vomir a la vue des marceaux des corps de ses conseilliers en train de rotir sur un enorme feu et une partit de ses depuilles eparpilles tout au tour d'eux, les deux tetes figées dans un geste finale epouvantable etaint exposées comme des trophées.

le geant qu'il avais vue l'aprés midi sur la plage porte une espece d'hache enorme. Il a commence a rire en fixant Patagonico avec ses petits yeux de dinosaure. Patagonico avait bien compris que c'eait la fin....

Au moment ou l'hache tombé sur lui, une basculade le fait tomber de coté et deus hourlements horribles brissé tous les bruits, puis quelques crepitements, quelques cris ettoufés encore et aprés le silence le plus totale...

pendant que Patagonico tentez de se mettre debut il essayer de comprendre se que venez de se passer: Mapuche, son demi frere, son ami, venez d'offrir sa vie a sa place, mais il avais emené avec lui le geant: avec une force postume et l'aide de l'efect surprise il avait poussé le monstre sur l'enorme feu et tous les deux corps , deja sans vie, etaint en train de bruler ...

Tous ce qui c'est passé aprés c'etait comme un reve dans la tete de Patagonico: d'abord toutes les regardes possée sur lui, aprés le vieux qui est venu vers lui et qui lui a fait une rverence jusqu'au sol, les autres que se sont prosterné aussi, la foule que l'on emené ailleur a travers la jungle pendant tout le reste de la nuit, l'arrivée a l'aube dans un village interminable et au milieu a la porte d'une piramide doré gigantesque..... peut aprés un cortege est sortie de l'entrée pendant que la foule que entouré Patagonico n'arretait pas de parler avec une sorte de surprise et de peur a la fois...
Finalement une femme est sortie et tous se sont jettes a terre a sa vue, sauf lui...et personne n'a riens fait...Il a regardé ce femme: une creature trés bien faite, avec des yeux en amande d'un couleur entre le verte de la jungle et le dore de la piramide, ses logues cheveux noirs comme les plumes d'un corveautombén sur son dos comme une cape. elle etait toute habillé en blanc, unique a porter ce couleur parmis les centeines des presents, et ses bras et chevilles etaint coverts des bracelets en or et pierres inconues. Sur sa tete el porte une couronne en forme du soleil ornée des plumes d'un blac exquis.
patagonico a sa vue perde tous ses moyens et par un instant il oublie meme la mort de son frere...ce visage lui rapelle quelque chose...un peut sa grand mere? un peut les belles daimoselles de son royaume...? es que ce'tait elle.. es que c'etait...

-Allyara!!!- s'ecuote crier patagonico

Il voie fremir le mance corp et les yeux amande deviens enormes et brillent avec mil rayons de soleil...

-Patagonico!?....

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seuls dans un enorme temple couvert d'or ou un autel avec un trone serve de piedestal por Allyara pendant la journée ils se sont tout reconté: patagonico toutes ses aventures, l'horreur des derniers heures, la mort de son frere et ami...Allyara le kidnaping de Viraine, sa perfidie, ses jours dans le cannot, en plein mer, morte de soif, au but de forces, l'arrivage inopinée sur le rivage de l'ile des Tetre-tere, ces indigenes antropofogos, l'un d'eux s'avit lancé a la mer pour l'attraper et la tuer mais un requin a providencialement attaqué le malhereux et quand elle a finalement arrive a l'ile ils l'ont acueille comme une deesse: comme se lui que le voulais de mal a etait mort ils ont considere que ça etait la signal pour montrer qu'elle etait une divinité...c'est pour la meme raison qu'ils sont changé d'avis respect a lui, aprés lamort du geant et de Mapuché....

Allyara, que dominé deja la langue des canibals et que continué a jouer la comedie de "divinité" pour proteger ses vies a explique que son mari venez la chercher pour regler des affaires dans une autre ile, donc ils aviant besoin d'une grande chaloupe pour se faire a la mer. elle leurs a promis de revenir au plus vite (bien sure...) et c'est comme ça que seulement trois jours aprés ils sont retrouve une partit des bateaux du roi.

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deux jours aprés, pendant que l'archipel de l'Enfer se faisaitde plus en plus petit dans l'horizont, Patagonico, la man dans la main d'Allyara, les yeux pleins des larmes, lui dit son dernier adieux a son frere aimé, son cher Mapuché...